Malestroit. Programmation: du changement à l’Armoric cinéma

C’est la rentrée à l’Armoric Cinéma avec quelques changements de taille dans la programmation. En effet cette année, l’Armoric Cinéma double ses séances pour deux thèmes majeurs : les films Art et essai et lundi cinéma.

Ciné pour tous

Ce lundi 1er octobre, c’est lundi cinéma, ex- ciné-seniors dont le nom ne correspondait plus à l’élargissement constaté des tranches d’âge concernées. Intitulé « ciné pour tous » qui ouvre le bal à 14 h 30 avec au programme le film : « Tout le monde debout ».  Désormais « ciné pour tous » reviendra une deuxième fois par mois (les 1er et 2è lundi) avec à l’affiche du lundi 15 octobre, le film « la finale ». Au total, six films ont été sélectionnés d’ici le mois de décembre dont une majorité de comédies françaises, un genre apprécié de la centaine de spectateurs qui fréquentent assidument l’Armoric cinéma.

Les séances ont toujours lieu à 14 h 30 pour un tarif réduit à 5 euros.

Art et essai

Les séances Art et Essai reprennent du service dès ce mardi 2 octobre avec un rendez-vous fixé chaque premier mardi du mois, mais qui va se compléter avec un autre rendez-vous le 3è mardi du mois, consacré celui là à des films documentaires. Une évolution qui part du constat d’un succès confirmé auprès d’un public de fidèle et pour lequel l’Armoric souhaite proposer une offre complémentaire. Les séances ont lieu à 20 h 30.

A l’affiche du mois d’octobre:

Ce mardi 2 octobre:

« Woman at war », une comédie réalisé par Benedikt Erlingsson Avec Halldora Geirhardsdottir, Jóhann Sigurðarson, Davíd Thór Jónsson

L’histoire: « Halla, la cinquantaine, déclare la guerre à l’industrie locale de l’aluminium, qui défigure son pays. Elle prend tous les risques pour protéger les Hautes Terres d’Islande… Mais la situation pourrait changer avec l’arrivée inattendue d’une petite orpheline dans sa vie »

Mardi 16 octobre

« De chaque instant », documentaire réalisé par Nicolas Philibert (Acteurs inconnus)

L’histoire: « Chaque année, des dizaines de milliers de jeunes gens, filles et garçons, se lancent dans des études en soins infirmiers. Entre cours théoriques, exercices pratiques et stages sur le terrain, ils devront acquérir un grand nombre de connaissances, maîtriser de nombreux gestes techniques et se préparer à endosser de lourdes responsabilités. Ce film retrace les hauts et les bas d’un apprentissage qui va les confronter très tôt, souvent très jeunes, à la fragilité humaine, à la souffrance, aux fêlures des âmes et des corps. C’est pourquoi il nous parle de nous, de notre humanité. »